La crise sanitaire a mis à l’arrêt une partie de l’économie mondiale et bouleversé les chaines de valeur internationales. Le bénéfice écologique de la baisse des émissions de carbone associée est donc conjoncturel. Mais est-il possible de profiter de cette situation exceptionnelle pour revoir en partie la structure de notre économie et la rendre plus durable ?
À quand la réduction des fossiles sur les marchés de l’énergie ? Les flux commerciaux vont-ils être durablement modifiés ou reprendre leur cours ? Les plans de relance nationaux et supranationaux changent-ils la donne ? En France, la loi Climat et Résilience peut-elle encore poser les bases d’un véritable changement de paradigme ?