Le Cercle des économistes était aux Rendez-Vous de l’Histoire qui se sont déroulés à Blois du 8 au 12 octobre 2014
Etaient présents: Patrick Artus, Agnès Bénassy-Quéré, Christian de Boissieu, André Cartapanis, Patrice Geoffron, Jean-Hervé Lorenzi, Jacques Mistral, Olivier Pastré, Jean-Paul Pollin et Alain Tranoy.
Retrouvez toutes les infos sur le site internet des Rendez-vous de l’histoire de Blois
A travers ses publications et les différentes conférences qu’il organise, Le Cercle des économistes a toujours cherché à confronter le point de vue des économistes avec ceux des autres disciplines et notamment des historiens. C’est donc très naturellement que le Cercle s’est associé aux Rendez-vous de l’histoire de Blois pour une session carte blanche du programme L’Economie aux Rendez-vous de l’histoire.
Le thème de notre session portait sur :
Les déconvenues de la troisième révolution industrielle
Samedi 11 octobre 2015 à 11h30 – Amphi Rouge / Salle de la CCI
Modérée par Jean-Paul Pollin/ Professeur d’économie, Laboratoire d’économie d’Orléans/ Université d’Orléans et membre du Cercle des économistes.
Cette session à réuni :
Patrick Artus / Economiste, Directeur de la recherche et des études de Natixis et membre du Cercle des économistes
Dominique Barjot, Professeur d’histoire économique contemporaine à Paris Sorbonne
Jean-Luc Gaffard, Professeur à l’université de Nice, Directeur du département de recherche sur l’innovation et la concurrence à l’Observatoire Français des Conjoncture Economiques.
Jean-Hervé Lorenzi / Economiste et Président du Cercle des économistes
Le pitch:
Le débat de cette session se propose de comprendre les déceptions suscitées par les évolutions actuelles de la productivité et donc de la croissance, au regard des espoirs qu’avait fait naître le discours sur la nouvelle révolution
industrielle. Est-ce que l’on sous-estime (et pour quelles raisons ?) les évolutions à venir de la croissance potentielle? Ou son affaiblissement (l’épuisement du progrès technique) est-il inéluctable ? Ou encore la portée des innovations actuelles est elle explicable par certains traits amendables de l’organisation économique, notamment les exigences du capital financier ?